Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 7 ans
Je ne pouvais pas garder cette expérience que pour moi ! Rien que d'y repenser, je n'arrive toujours pas à croire ce qui m'est arrivé ! J'ai 30 ans, je vis sur Paris, plutôt pas mal je fais attention à moi... J'ai pas mal de grains de beauté que je dois faire contrôler régulièrement. Je prends rendez-vous chez un dermato proche de chez moi que m'a conseillé mon généraliste.
Je vous passe les détails de l'accueil et de l'attente en salle d'attente. Le médecin se décide enfin à m'appeler.
Une femme, en fait, plutôt grande, filiforme, brune, les cheveux tirés en arrière, lunettes à monture épaisse et noire. Tailleur sombre, talons hauts. Elle se donne un look assez sévère, et l'accueil est plutôt froid... Elle doit avoir entre 40 et 50 ans, difficile à dire. Plutôt jolie, très peu maquillée, rien d'excitant non plus ... Mais je ne suis pas là pour ça de toute façon !
Là je ne vais pas vous raconter le début de la consult où elle pose plein de questions... Elle me demande finalement de me déshabiller. Je m'exécute, je garde néanmoins mon boxer.
Elle auscule tout le corps, sans dire un mot, avec sa loupe et son espèce de lampe torche. Je suis debout face à elle. Elle tourne autour de moi.
Elle est derrière moi, quand elle est en train de regarder toujours avec sa loupe le bas du dos, et me demande de retirer mon caleçon... (Ah bon ?) Me voilà donc caleçon aux chevilles, et ses mains froides touchent le haut de mes fesses, s’attardent sur un grain de beauté, elle se redresse et retourne vers son bureau. Elle ouvre un tiroir et prend un appareil photo.
Elle revient vers moi, en passant devant moi cette fois. Je vois son regard s’abaisser sur mon sexe. Je me sens un peu gêné, car je me rase le sexe, les testicules et les fesses. J’ai l’impression que ce moment dure une éternité.
Elle retourne dans mon dos et me demande de m’abaisser un peu pour prendre une photo de ce grain de beauté. Je me penche un peu en avant, le cul tendu. A cet instant je ne sais pas ce qu’il m’arrive, je ressens des picotements dans mes couilles, et je sens ma verge chauffer et gonfler légèrement. Le s a n g me monte à la tête, mon cœur commence à taper un peu plus fort. J’angoisse de me retrouver avec une érection devant elle, alors j’essaie de penser à toutes les choses qui généralement font retomber la pression de suite. Mais là, rien n'y fait, comme si ça ne faisait « qu’empirer » les choses. Je sens ma verge gonfler à chaque battement de mon cœur, progressivement, jusqu'à me retrouver avec la bite tendue comme un arc, ça me fait presque mal.
Comme elle est toujours derrière moi, concentrée à prendre en photo mon grain de beauté, je me dis que j’ai encore un peu de répit, et que peut-être je vais réussir à reprendre le contrôle… sauf qu’elle me demande de me retourner…. Je ne sais plus quoi faire… Rouge de honte je me retourne… Et son regard tombe direct sur mon sexe droit comme un i.
-
Hé bien, qu’est que c’est ? dit-elle sur un ton plutôt froid.
-
Je suis désolé madame, c’est affreusement gênant, dis-je d’un ton timide et confus.
Franchement de quoi j’avais l’air, le caleçon en bas des jambes, la bite tendue, je ne savais plus où me mettre. Elle retourna à son bureau, je lui tournais le dos la tête baissée, je regardais ma bite et je lui gueulais dessus, dans ma tête, de redescendre…
- Retourne-toi !
Cette phrase claqua comme un coup de fouet. Elle me glaça le s a n g , et mon cœur se mit à battre à tout rompre. Pourquoi me tutoyer tout d’un coup ?
-
Je vous prie de m’excuser, je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, dis-je faiblement comme un petit garçon qui vient de faire une bêtise
-
Tais-toi ! dit-elle d’une voix rude. Comme tu es disposé à me montrer ta bite en érection, tu vas en profiter pour me montrer comment tu te branles …
Mais qu’est ce que je fais là ! Je ne sais pas comment réagir. Je suis pétrifié, je veux me rhabiller et partir en courant, mais je reste là, impossible de bouger, et en même temps terriblement excité par la tournure que prend cette consultation…
- Allons ! J’attends ! dit-elle, impatiente.
Je me retourne enfin, elle est en train d’enlever la veste de son tailleur. Elle porte une chemise blanche et commence à la déboutonner. Je me dirige sur la chaise en face de son bureau, je m’assois, et comme elle le désirait, ou plutôt l’exigeait, je commence à me caresser.
Elle reste derrière son bureau et continue à se déshabiller, elle me regarde, toujours avec cet air sévère, me branler lentement. Elle enlève sa chemise et dégrafe son soutien-gorge, me présentant une poitrine volumineuse. Son tailleur ne dévoilait pas une si volumineuse paire de seins. Ils étaient lourds et tombaient légèrement, les tétons tendus et des aréoles larges. Elle gardait la jupe de son tailleur, mais elle venait de retirer son string. Elle fit le tour de son bureau et vint se placer juste en face de moi, toujours la bite à la main. Elle s’appuya les fesses sur son bureau et commença à faire glisser sa main le long de ses cuisses. Elle portait des bas, ses mains remontèrent de plus en plus, elle fit remonter sa jupe jusqu'à la taille, j’avais le visage en face de son sexe poilu, un pubis bien garni de poils noirs, mais les lèvres étaient bien épilées et lisses. Tout en glissant ses doigts dans sa chatte, elle me regardait de haut et me dit :
- Branle-toi plus vite, secoue-moi bien cette bite ! Mais tu n’as pas intérêt à jouir !
Je me mis donc à me branler plus rapidement, je serrai ma bite dans ma main, je décalottai bien mon gland qui était devenu bien humide, je remontais et descendais ma main, de l’autre je me caressais les couilles.
Je la regardais se caresser elle aussi, elle pinçait ses lèvres, puis glissait sa langue entre ses lèvres. Elle avait plusieurs doigts dans sa chatte et les faisaient rentrer et sortir rapidement. Elle regardait ma main secouer ma bite.
- T’es pas mal comme ça ! Tu as une belle bite… Tu vas fermer les yeux maintenant et ouvrir la bouche, dit-elle, toujours sur un ton sec.
J’obéis. Elle me mit les doigts qui étaient dans sa chatte dans ma bouche en les faisant aller et venir comme si je suçais une queue. Son goût était bon, ses doigts visqueux trempaient dans ma bouche.
- Oui c’est ça ! Goûte-moi, petit branleur.
Elle remit ses doigts dans sa chatte et me les remit ensuite dans la bouche. J’avais sa mouille partout. Elle me prit la nuque de ses deux mains, et me plaqua v i o l emment la tête sur son sexe. Elle appuyait fortement, me f o r ç a i t la tête contre son ventre.
- Vas-y maintenant, petit branleur ! Bouffe-moi, je veux sentir ta langue dans ma chatte.
J’avais le visage enfoui dans sa chatte, elle me tenait toujours aussi fort la tête, je pouvais à peine respirer. Je lui léchai sa chatte devenue trempée, j’enfonçai ma langue le plus profondément possible dans son vagin, son liquide coulait dans ma gorge. J’étais humilié par cette femme. Elle respirait fort, mais ne faisait pas de cris, comme si elle voulait me montrer que c’était bien elle qui dominait, mais je sentis son orgasme monter, elle me planta ses ongles dans la nuque tout me tenant v i o l emment la tête entre ses cuisses. Cette fois je ne pouvais plus respirer, elle me faisait mal, elle se branlait littéralement l’entrejambe sur mon visage. Elle fut secouée par plusieurs spasmes, où elle me frappait le visage avec sa chatte à chacun d’eux.
Elle me retira la tête de son ventre en me tirant par les cheveux. Je sentais mon visage inondé de mouille. Elle me gifla. Elle me tira la tête en arrière par les cheveux et dit :
- Tu m’as fait jouir trop vite ! Je vais te punir !
Elle se mit debout, me tira par les cheveux, m’obligeant à me lever aussi, puis me jeta par terre, sur la moquette de son cabinet. Je protestai, elle me faisait mal.
- Allonge-toi ! Reste sur le dos ! Oui, comme ça ! Allez ! Branle-toi maintenant !
Je m’exécutai, je me branlais, j’avais encore le visage humide, mes joues étaient brûlantes de honte. Je m’astiquais le chibre v i o l ement, j’étais dans un état second. Elle était toujours debout, elle tournait autour de moi. Elle saisit son appareil photo et commença à me shooter.
- Vas-y ! Branle-toi bien ! Va plus vite ! Oui c’est ça !
Elle avait toujours sa jupe remontée à la taille et ses gros seins à l’air. Je regardais sa chatte, j’avais envie de la bouffer encore.
-
Qu’est ce que tu regardes comme ça, petit vicieux ? C’est ma chatte que tu regardes, hein ! Elle te plaît, hein ?
-
Oui madame, elle me plaît….
-
Je savais que tu étais un petit vicieux…
Elle se tint debout, les jambes écartées au-dessus de ma tête, et commença à descendre. Elle vint écraser son sexe à nouveau sur mon visage. Elle prit encore quelques photos de ma main en train de secouer mon sexe, et posa l’appareil.
- Allez ! Bouffe-moi bien ! Montre-moi un peu ce que tu sais faire !
Elle était accroupie sur mon visage, sa main caressait son clitoris pendant que j’enfonçais ma langue dans sa chatte. Puis elle se redressa un peu, et de ses deux mains elle écarta ses fesses, me présentant à la bouche son anus.
- Allez maintenant, lèche-moi le trou ! Je veux sentir ta langue dans mes fesses ! Applique-toi bien !
Je voyais ses doigts caresser et pénétrer sa chatte, elle mouillait abondamment. Ma langue léchait son petit trou, puis je la pénétrai de ma langue. Pour la première fois je l’entendis gémir, me faisant comprendre qu’elle y prenait du plaisir.
- Oh oui ! Ça me plaît bien, ça ! Je vais jouir dans ta bouche ! Continue !
Je sentis son anus se contracter sur ma langue, et dans un sursaut de sa part je reçus une décharge de son jus en plein visage. C’était la première fois que je voyais une femme expulser autant de liquide. J’ai cru étouffer, tellement j’en ai reçu dans la bouche. Excité et troublé par cette expérience, j’avais continué à me branler pendant qu’elle jouissait sur mon visage, et je n’avais pu retenir longtemps la sève qui me remplissait les couilles; j’avais déchargé de longues salves de sperme sur mon ventre, et je continuais à secouer frénétiquement mon membre.
- Tu as joui ! s’écria-t-elle. Qui t’a donné la permission ?
J’étais KO sur sa moquette, comprenant à peine ce qu’elle me disait, j’avais du mal à reprendre mes esprits, tant mon orgasme avait été puissant.
-
Je ne pouvais plus me retenir, je suis désolé… dis-je, finissant par retrouver la parole.
-
Ce n’est pas à toi de décider ici ! Mets-toi à quatre pattes, je vais te montrer ce qui arrive quand on me désobéit !
Je retrouve la f o r c e de me redresser, j’obéis à son ordre, je me place à quatre pattes, je me sens plus que jamais humilié, torturé par cette femme. Elle commence alors à me frapper les fesses.
- Cambre-toi ! Tend-moi bien ce cul !
Me voilà les fesses cambrées, ses claques commencent à me brûler, puis elle me caresse les fesses, passe sa main entre mes cuisses, me pelote les testicules, me branle la bite par derrière, je n’avais pas débandé depuis que j’avais craché ma semence.
- Alors comme ça on se rase les poils ? C’est les filles qui font ça ! dit-elle. Je vais te montrer ce que je leur fais, moi, aux filles de ton genre….
Elle cracha sur mes fesses à plusieurs reprises, je sentis sa salive couler entre mes fesses. Elle commença à me caresser l’anus lentement, étalant bien sa salive sur ma rondelle. De l’autre main elle continuait à me branler en serrant très fort ma bite dans sa paume. Je sentis un doigt me pénétrer, surpris, je serrai les fesses, essayant de lui barrer le chemin, mais elle f o r ç a de plus belle…
- Allons allons, ne me dit pas que tu n’aimes pas ça, petite pute ! Je vais te sodomiser comme tu le mérites.
Je réussis à décontracter les muscles de mon cul, puis je sentis qu’elle y enfonçait un doigt de plus. J’étais pris entre la douleur et le plaisir, et finalement le mélange des deux fut si intense que je commençai à perdre pied. Je râlais mon plaisir, je soufflais fort, je donnais des coups de reins pour l’aider à me pénétrer encore plus profondément.
- Je savais que tu allais aimer ça, elles aiment toutes ça, les salopes de ton genre.
Je sentais l’orgasme monter lentement, l’explosion allait être terrible… Ses doigts continuaient à me v i o l er les fesses, jamais je ne n’avais ressenti un tel plaisir.
-
Je vais jouir madame… dis-je, essoufflé…
-
Retourne-toi ! Mets-toi sur le dos…
Je m’exécutai, je n’en pouvais plus… Elle se mit assise sur moi, les fesses posées sur mes jambes, sa chatte contre ma bite, elle était face à moi. Elle me branla de plus en plus fort, en frottant ma bite contre son pubis poilu. Je ne pus me retenir longtemps, et je finis par cracher ma semence. De long traits de sperme éclaboussèrent sa chatte. Tout mon corps sursautait à chaque éjaculation, je serrais les dents pour ne pas crier tellement l’orgasme était v i o l ent. À peine avais-je repris mes esprits qu’elle se redressa et présenta sa chatte dégoulinante de sperme face à mon visage…
- Tu vas me nettoyer ça maintenant, et que ça soit propre !
Je lui léchai les poils enduits de sperme et sa chatte, prenant dans ma bouche ma propre semence, je pris soin de bien tout nettoyer. J’avais déjà goûté mon sperme, mais là, le goût était mélangé avec celui de sa mouille. C’était bon, j’étais ivre, je ne me contrôlais plus, elle pouvait faire de moi tout ce qu’elle voulait…
- C’est bien ! Je suis propre maintenant !
Elle se leva, m’abandonnant au sol, à moitié m o r t … Elle rabaissa sa jupe et se dirigea derrière son bureau, et elle se rhabilla. Je retrouvai la f o r c e de me lever, je titubai jusqu'à mes affaires, et me rhabillai aussi. Elle était déjà assise à son bureau en train de remplir mon ordonnance. Quand je me dirigeai vers elle, elle me tendit la feuille et me dit :
-
Il faudra revenir me voir pour contrôler ce grain de beauté, Monsieur, disons, dans 3 mois ?
-
D’accord…
-
Voyez avec ma secrétaire en sortant, pour le RDV… Bonne soirée Monsieur.
Je sortis de son bureau, groggy, titubant presque, comme saoul. Je suis allé vers le comptoir où la secrétaire, jolie jeune fille blonde, me sourit en me voyant arriver. Elle était au téléphone, et raccrocha lorsque je me trouvai en face d’elle.
-
Bien Madame, je lui dis pendant qu'elle reposait le combiné, je dois reprendre un RDV dans trois mois…
-
Très bien monsieur, je vous note dans le planning.
-
Le docteur « X » me demande de vous prévenir que la prochaine fois risque d’être un peu plus douloureuse, dit-elle avec un sourire complice.
Je ne sus quoi répondre, je tournai les talons et rentrai chez moi, humilié, le cul défoncé, les bourses vides, et le vice dans la peau (à présent)…
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